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Crème Anglaise - Page 2

  • Freddie Mercury

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    J'avais envie de partager ce petit clip avec vous, ce soir. J'adore la voix de Freddie Mercury et je gobais sur la page Google quand je l'ai découvert (la rentrée m'a tuée). Bonne soirée and have a good time.

    "Aujourd'hui, 5 septembre 2011, Freddie Mercury aurait eu 65 ans et pour l'occasion Google a réalisé une vidéo sur sa célèbre chanson Don't stop me now  et l'animation retrace pour les connaisseurs différentes étapes de la vie de cet immense artiste. "

  • Le Dernier Continent

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    Les Annales du Disque-monde - Livre 22

    Terry Pratchett (Bibliographie)

    1998 - 2003 aux Éditions L'Atalante (j'adore les couvertures)

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    Envie de vacances? Vous n'avez pas encore choisi votre destination pour le mois d'août, vous cherchez un lieu exotique, chaud (sans pluie), vous avez soif d'aventure, de découvertes sensationnelles, de rencontres impossibles, de magie aussi alors n'hésitez pas, retenez votre billet pour Le Dernier Continent du Disque-monde, un "blady pays" qui ressemble à l'Australie mais en plus... sauvage. Pas sur que vous en reviendrez d'ailleurs, car ce continent est menacé et il n'y a pas grand monde pour le sauver mais chut! Je ne vais pas vous gâcher le plaisir! 

    Au programme:

    • Journée plage tropicale avec pour charmante compagnie les mages de l'Université de l'Invisible et la très séduisante madame Panaris.
    • Pêche avec l'Archichancelier Ridculle
    • Promenade en bateau: regardez les météo avant de partir et évitez d'embarquer sans gilet de sauvetage le jours de la tempête
    • Séance spirituelle avec Cogite Stibon mais casse pas la tête!
    • Parcours aventure avec Rincevent: Prévoir de bonnes chaussures au cas où vous devriez courir, un kit de survie en milieu hostile comprenant un puissant insecticide. Rédiger votre testament avant de partir car on ne sait jamais La Mort peut faire partie du voyage. Vérifier régulièrement que votre bagage ne se fasse pas la malle sur ses petites pattes, c'est du vécu.

    "Casse pas la tête!"

    C'est toujours agréable de retrouver un univers de lecture, de vieilles connaissances, tout en se disant à l'avance qu'on va prendre du bon temps. On a hâte de revoir les mages de l'Université de l'Invisible, Rincevent, les sorcières (mais pas dans ce tome) ou la Mort (tout petit rôle ici) pour voir ce qu'ils sont devenus.

    Je choisis donc chaque livre en fonction des personnages présents. La saga est énorme, il faut bien faire un choix parmi les 33 tomes!

    Le style de Terry Pratchett continue à me plaire même si mon imagination a du mal à suivre tellement c'est délirant. Il m'arrive de perdre le fil de l'histoire à certains moments.

    Je crois que mon esprit s'embrouille surtout lorsque l'auteur joue au yoyo avec l'espace et le temps, mais une fois réglés ces détails logistiques, plus rien n'arrête en général ma lecture; peut-être quelques longueurs. Je suis passée en mode "turbo-lecture" un peu avant la fin, trouvant que ça n'allait pas assez vite.

    L'histoire n'est pas inoubliable, j'en ai connu de plus épiques sur le Disque-monde mais l'humour est au rendez-vous et je me suis beaucoup amusée. Comme écrit Neph dans son billet:"On a droit à de grands moments de poésie!"

  • Les Radley

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    Crème Anglaise, Les Radley, Matt Haig

    Matt Haig

    2010 aux Éditions Albin Michel et sur la page Facebook

    Pour en discuter avec moi, c'est aussi ici.

    "C'est un coin tranquille, surtout la nuit..."

    Bishopthorpe, une banlieue anglaise, chic et tranquille. C'est au 17 Orchard Lane que vit la famille Radley. Les parents: Peter et Helen ainsi que leurs enfants: Rowan, l'aîné, timide, mal dans sa peau et Clara, végétalienne et fervente protectrice des animaux. Ils mènent une existence paisible, bien intégrés dans la petite communauté dans la quelle ils vivent. Leur secret: ce sont des vampires, des vampires abstinents qui contrôlent leurs soif mais des vampires quand même avec leur secret qu'ils cachent depuis des années à leur entourage et même à leurs enfants mais le jours où la jeune Radley succombe à une SSI (Soif de Sang Irrépressible) alors le joli tableau de famille semble sur le point de se fissurer.

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    Je ne sais pas si ce sont les Radley qui m'ont dévorée ou si c'est moi qui ai dévoré les Radley! Un peu des deux sans doute.

    Je suis "totally charmed", conquise par cette charmante famille de vampires. Matt Haig nous invite chez les Radley, on s'y croirait et on aimerait presque faire parti de la famille. Tant pis si on y laisse un peu de sang!

    L'histoire m'a captivée, je trouve qu'elle se distingue parmi les histoires de vampires que j'ai lu jusqu'à maintenant. Dés la première page, j'ai adhéré au style de l'auteur. Les chapitres sont courts, efficaces, donc peu de temps morts et un un intérêt croissant, jusqu'au dénouement. Pas d'impression de déjà vu non plus, avec les personnages, j'ai juste profité de ce très bon moment de lecture.

    Et là, j'ai juste l'envie d'avoir quelques chapitres en plus. "Please, Mr Haig, just a little more chapter!" Je crois que je fais une SLI (une Soif de Lecture Irrépressible). Il va falloir que ça passe, il n'y a pas de deuxième tome mais je crois qu'un film est en cour de tournage aux États-Unis alors tout n'est pas perdu.

    • Heclea: "Un roman inhabituel donc, qui sort des sentiers battus et permet de passer un bon moment"
    • Lire également le billet de Joelle, Scor13 et Jess
  • Emma

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    Lecture commune organisée par Nane

    avec Irrégulière, maggie...

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    Jane Austen

    Le Livre de Poche

     Après Noël,  j'ai acheté l'édition joliment illustrée par Christian Lacroix. J'aime beaucoup la tranche rose fushia ainsi que les couleurs et les motifs de cette couverture. Je trouve que ça convient bien à ce roman. Orgueil et Préjugés aurait mérité d'avoir une aussi belle couverture même si je n'ai pas à me plaindre de mon édition (Le Serpent à Plumes).

    J'avais pensé me procurer les Œuvres Romanesques complètes éditées chez La Pléiade, mais j'y ai renoncé pour différentes raisons: la présentation est un peu austère et le prix dissuasif. Je crois que je vais patienter encore quelques années.

    Oh my god! Un mariage!

    La jeune Emma Woodhouse, 21 ans vit à Highburry, dans la maison d'Hartfield avec son père. Le départ de se gouvernante et amie Miss Taylor suite à son mariage attriste la maisonnée mais très vite, Emma va s'attacher à Harriet Smith, une jeune fille qu'elle va tenter d'introduire dans le monde, influençant ses désirs et jouant les entremetteuses pour le meilleur et pour le pire.

    J'apprécie toujours autant le style de Jane Austen et les histoires dépeignant la société victorienne et ses petits travers. Je m'amuse de toutes ces civilités et "parades", de ces dialogues parfois cocasses et truculents, des manières de certains personnages et je fonds comme une guimauve lorsque le cœur de notre héroïne se découvre des sentiments, elle qui se croyait à l'abri de ce genre d'égarements. 

    On ne peut qu'aimer le personnage d'Emma car malgré ses maladresses, sa manière de s'immiscer dans la vie d'autrui, de juger et de manipuler, elle a bon fond et ne cesse de se culpabiliser pour ses mauvaises actions, ce qui fait d'elle une héroïne imparfaite mais plutôt sympathique. 

    Concernant l'histoire, celle d'Emma ne m'a pas autant captivée que celle d'Orgueil et Préjugés, j'ai ressenti quelques longueurs, mais j'ai tout de même savouré cette lecture et pris plaisir à tourner les pages.

    Après Orgueil et préjugés, Lady Susan et Emma, je me laisse maintenant le temps de la réflexion pour le prochain Jane Austen.

    Et vous?

  • La Révélation de Noël

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    Anne Perry

    2008-2010 aux Editions 10/18 "Grands Détectives"

    Série "Petits crimes de Noël"

    Emily Radley est la soeur de Charlotte, la femme de Thomas Pitt ("célèbre policier"). Ce Noël 1895, elle ne le passera pas à Londres en compagnie de son mari et de ses enfants mais dans un petit village d'Irlande auprès d'une tante mourrante, dans le Connemara. Là-bas, elle découvre que Susannah l'a faite venir pour résoudre un mystère concernant un meurtre commis plusieurs années auparavant au cours d'une tempête et d'un affreux naufrage. Etrangement, des évènements semblables semblent sur le point de se reproduire. Emily va, alors, tenter de découvrir les secrets jalousement gardés par ce petit village.

    J'ai découvert les romans d'Anne Perry avec Le mystère de Callander Square, en 2007. J'en garde un bon souvenir. Je m'étais beaucoup amusée, un peu plus, peut-être, qu'avec La Révélation de Noël dont je vais vous parler maintenant.

    Noël 1895...

    En effet, il n'y a pas vraiment de quoi rire puisqu'un homme a été tué et que le coupable se cache dans le village provoquant craintes et suspicions. L'ambiance est pesante, la tempête féroce et vous n'aurez qu'une envie, vous réfugier sous un plaid polaire ou au chaud n'importe où. J'ai beaucoup apprécié cette atmosphère.

    Les personnages sont de bonne compagnie, j'ai pris plaisir à suivre le voyage d'Emily pour l'Irlande, l'accompagner auprès de sa tante en fin de vie. C'était touchant mais le ton était juste.

    Le style est fluide, la lecture plutôt rapide même si ça ne déborde pas d'action. L'intrigue et le dénouemement ne sont pas des plus surprenants mais je n'ai pas été déçue. La dose de suspense m'a tout à fait convenue.

    Idéal pour les voyages en train, c'est un bon divertissement, un roman agréable à lire au moment des fêtes.

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  • Mrs Dalloway

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    Lecture commune organisée par Myrddin avec Jana, Irrégulière, Evertkhorus, Estellecalim,

     

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    Virginia Woolf

    Folio Classique - 1994

    "C'est peut-être le chef-d'œuvre de l'auteur - la plus grande romancière anglaise du XXe siècle."

    Est-ce que je suis passée à côté d'un chef d'oeuvre?

    Je reste pourtant persuadée que toutes les expériences littéraires méritent d'être vécues, qu'elles soient éprouvantes, longues et douloureuses, qu'elles soient dérangeantes, tristes et ennuyeuses mais parfois, même une magnifique écriture, pleine de poésie ne suffit pas à secourir une lectrice égarée, ayant perdu tous ses repères, se demandant si elle apprécie ou non ce qu'elle est en train de lire. C'est assez cruel de ne pas savoir.

    Il y a de quoi culpabiliser, se sentir un peu bête, ignorante et inculte. Pour se rattrapper, on peut toujours dire que que ce n'était pas le bon moment, que l'humeur n'y était pas, qu'il y avait trop de bruit autour et donc aucun moyen de se concentrer sur cette pure merveille de la littérature.  

    Je ne suis pas entièrement convaincue que si les circonstances avaient été différentes, ce roman se serait transformé en coup de coeur mais avec les livres tout est possible.

    "Le roman publié en 1925, raconte la journée d'une femme élégante de Londres (Clarissa Dalloway), en mêlant impressions présentes et souvenirs, personnages surgis du passé, comme un ancien amour (revenu des Indes) ou membres de sa famille et de son entourage". Quatrième de couverture + détails personnels ajoutés en gris

    "Telles sont les visions qui sans trêve viennent flotter à la surface de la réalité des choses, l'accompagner, la masquer de leur visage; subjuguant souvent le voyageur solitaire, annihilant en lui tout sens de la terre, tout désir de revenir, et lui donnant en échange un grand sentiment de paix, comme si (c'est ce qu'il pense en s'avançant dans l'allée forestière) toute cette fureur de vivre était la simplicité même; et que des myriades de choses venaient n'en faire qu'une; et que cette silhouette composée, composée, qu'elle est de ciel et de branches, s'était élevée de la mer agitée (il est âgé, il a maintenant plus de cinquante ans) comme une forme qui serait aspirée, arrachée aux vagues pour répandre de ses mains munificentes la compassion, la compréhension, l'absolution." Page 135

     Jamais un livre n'avait ne m'avait autant malmené. Il y a un côté un peu malsain proche de la folie, qui m'a dérangé et je n'étais pas toujours très à l'aise. Certains apprécieront justement cette atmosphère si particulière.

    C'est vrai que tout s'entremêle: les personnages, le passé, le présent, le réel, les souvenirs, les rêveries, les contemplations, entretenant une certaine confusion. Quand je posais le roman et que je le reprenais un peu plus tard, c'est comme si je n'avais rien lu, impossible de me souvenir de qui ou de quoi on parlait. Une vague impression et rien d'autre.

    Mais mon plus gros problème c'était vraiment l'ennui, devenu de plus en plus profond au fil des pages (320 tout de même avec la préface). Pour être honnête, il ne se passe pas grand chose. On baigne dans une langueur mélancolique, une sorte de torpeur envahissante et par moment, c'est long et pas très plaisant.

    Enfin, j'ai ressenti un peu de plaisir à lire quelques passages à voix haute, l'écriture est sublime et j'aime ressentir la poésie de certaines phrases. J'ai surtout apprécié le début du roman.

    C'est donc une lecture qui est loin de m'avoir laissée indifférente mais je reste perplexe!

    Lu dans le cadre du Challenge Virginia Woolf organisé par Lou.

    Billet de Mango

    Dur dur le challenge!

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  • Slam

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    Lecture commune organisée avec Lou, Pickwick, Mango, Kikine, DF, La Nymphette,
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    Nick Hornby

    10/18 - 2007

    Sam a quinze ans, sa passion, c'est le Skate, Tony Hawk, son coatch imaginaire: une affiche collée sur le mur de sa chambre. Il vit avec sa mère, sa petite amie Alicia mais un jour, tout bascule. Alicia est enceinte et ce n'est pas grâce à une figure de skate qu'il va résoudre ce genre de problème. Tony Hawk va alors lui jouer un drôle de tour, en l'envoyant dans le futur. Et là, c'est le slam!

    Slam est écrit à la première personne. C'est l'adolescent, quelques années plus tard, qui raconte son expérience. Le style est courant souvent familier. Le "ton ado" peut agacer  mais c'est supportable. Le personnage est doté d'une certaine maturité, même s'il ne le prouve pas à chaque page.

    C'est un roman léger qui se lit vite, sans effort, allongé sur un bain de soleil, bref,  idéal pour les vacances.

    "Ce qui est incroyable, je trouve, c'est qu'on arrive à éviter les emmerdements minute après minute tout au long de la vie sauf pendant, disons, cinq secondes et qu'il suffit de ces cinq secondes pour que tout se casse la gueule où à peu près. C'est dément quand on y pense." page 63

    J'ai parfois trouvé quelques longueurs, des passages un peu surréalistes. J'avais un peu peur que l'histoire parte en vrille, avec la projection du personnage dans le futur mais c'était maîtrisé. Le ton est juste, l'histoire se termine sans fausse note, sans morale.

    Dans l'ensemble, j'ai passé un bon moment. C'est une lecture distrayante, avec de l'humour, une réflexion grave, et légère sur l'adolescence, le fait de devenir parent à cette période cruciale. Je n'avais du tout accroché à la lecture de Vous descendez?. Je suis contente d'avoir découvert ce roman grâce à Lou et Pickwick.

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    Voir d'autres avis sur Slam chez BOB
  • Intuitions

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    Rachel Ward

    Editions Michel Lafon - 2010

    Jeunesse

    Vous pouvez lire les premiers chapitres ici.

    Jem, une adolescente de quinze ans voit la date de mort des personnes dont elle croise le regard. Un peu décalée, elle va se lier d'amitié avec Spider, un adolescent, lui aussi "hors système" avec qui elle va prendre la fuite pour échapper aux autorités, tous deux soupçonnés d'avoir commis un acte terroriste mais les chiffres sont toujours là et menacent de faire basculer une fois de plus la vie de la jeune fille.

    "Les chiffres de la mort"

    Aussitôt reçu, aussitôt lu. Trois jours de lecture.

    Je me suis laissée embarquer par cette histoire un peu dingue, écrite à la première personne, racontant la fuite de ces deux adolescents.

    Les chapitres sont courts et illustrés par des séries de chiffres. La mise en page est agréable, l'histoire accroche, ça se lit vite.

    On ne s'embarrasse pas avec le style, le registre étant parfois très familier. Esprit rebel d'ado es-tu là? Oui, mais ce n'est pas aussi léger que ça y paraît car la mort dans ce roman est parfois inéluctable.

    Les personnages sont attachants, la dose de suspens et d'action tout à fait convenable. Certains ingrédients viennent pimenter l'ensemble et le dénouement réserve bien des surprises.

    Une lecture prenante, j'attends avec impatience la sortie du deuxième tome.

    Est-ce que ça vous tente?

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    Merci à Silvana des éditions Michel Lafon.

    Lael et Esmeraldae ont également lu Intuitions.

  • Challenge Roald Dahl

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    Je me suis laissée tenter par ce nouveau Challenge très sympa organisé par Liyah.

    J'aime bien l'univers de Roald Dahl et j'ai quelques titres dans ma PAL.

    Au programme:

    Fantastique Maître Renard (jeunesse)
    La Potion Magique de Georges Bouillon (jeunesse)

    Déjà lu:



    Fin du Challenge: Le 1er mars 2011
  • Les Hauts de Hurle-Vent

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    1801 en Angleterre, les Hauts de Hurle-Vent est la demeure de Mr Heathcliff. Un homme se présente un soir pour la location d'une partie de son domaine et est hébergé de mauvaise grâce car la neige a recouvert la lande et qu'aucun guide ne peut le raccompagner. Dans la chambre, il découvre un volume contenant quelques détails sur la vie des habitants de cette étrange maisonnée. En plein nuit, il se met à rêver et un fantôme vient troubler son sommeil. Le lendemain, il regagne sa location où sa femme de charge lui conte l'histoire des Hauts. Une histoire d'amour, de vengeance, plus forte que la mort.  
     
    Pour être honnête, je ne pensais pas apprécier ce roman tout droit sorti du grenier de ma grand-mère et arrivé par le plus grand des hasards dans ma PAL. Les préjugés m'éloignent toujours des classiques de la littérature et les années qui passent n'y changent malheureusement pas grand chose. Pourtant, le quatrième de couverture avait toujours éveillé ma curiosité mais je croyais que j'allais m'ennuyer pendant plusieurs semaines, que chaque chapitre serait long, douloureux et que je finirais par abandonner. C'est en tout cas la première impression que j'ai eu car j'ai trouvé les premiers chapitres laborieux à lire. Je ne sais pas ce qui me gênait le plus, entre le rythme, le syle, ou l'histoire elle-même.
     
    Je ne saurais dire à quel moment l'histoire m'a saisie, mais l'esprit de ce roman ne m'a alors plus quitté jusqu'à la fin et après chaque lecture, je ne pouvais m'empêcher d'y penser. Il faut dire que beaucoup d'émotions m'ont sumergée au cours de la lecture. Des émotions très variées allant de la répulsion à la pitié en passant par le dégoût et l'empathie. Et quelle ambiance! Toujours à la frontière du surnaturel. Qu'est-ce que je me sentais bien dans mon lit avec mon plaid polaire, penchée sur mon roman, frissonnant presque par mimétisme ou prenant plaisir à être au coin d'un feu purement fictif, m'attendant à voir surgir un fantôme à chaque page. Enfin, plus l'histoire évoluait et plus j'en appréciais la lecture. J'en garderai un très bon souvenir.

  • Orgueil et préjugé

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    J'ai une fois de plus passé un merveilleux moment en compagnie de la famille Bennet. J'étais étonnée de connaître aussi bien l'histoire mais ça ne m'a pas empêché d'être accrochée au roman comme si je découvrais Mrs Bennet cherchant à ["caser" ses aînées] pour la première fois.

    Dés le début du livre, les choses sont claires: "Il est une vérité universellement admise: c'est qu'un célibataire doté d'une solide fortune a certainement besoin d'une épouse". Je vous laisse le plaisir de (re)découvrir et d'apprécier la suite.

    Il fait maintenant parti de ma bibliothèque. A quand la prochaine relecture?

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    organisé par Fashion

    Rencontre avec Jane Austen - Note du 18 mars 2007medium_Pride_and_Prejudice.jpg

    Un mois jour pour jour. Pride and Prejudice ne m'a pas quittée pendant toute cette période. Dans mon sac, dans mon bain, dans le bus, créant des occasions de lecture dés que possible mais en toute discrétion et avec le peu de temps que j'avais certains jours. J'ai été envoûtée, dominée par mes émotions, j'irais même jusqu'à parler d'un mini-boulversement dans ma manière de ressentir les choses et d'appréhender mes relations avec les autres (wahou! J'écrivais des trucs pareils en 2007, c'est effrayant et je mettais un point d'exclamation à la fin de chaque phrase, je me suis sevrée). Une sensibilité décuplée comme je n'en avais pas connu depuis dix ans au moins. J'avais l'impression d'avoir avalé une fleur bleue (mais je ne m'étais pas encore réconciliée avec mon niveau d'anglais).

    Pour en revenir au roman, j'ai adoré les personnages (le père des filles Bennet dans son monde, la mère un peu écervelée...) leur caractère (la détermination d'Elisabeth, la sottise d'une de ses soeurs...), les dialogues teintés d'ironie et le cadre dans lequel se déroule l'histoire.

    J'avais beaucoup de préjugés avant de lire ce roman. Et je les ai tous perdu très vite. Un livre inoubliable.

    18/02/A peine terminé les nouvelles de Brady Udall, j'ai bondi sur mon exemplaire de Pride and Prejudice prêté par Kat (merci Kat pour cette découverte). Il y a deux semaines encore, il dormait paisiblement mais depuis que j'ai vu le film, je suis obnubilée par l'idée de le lire, de découvrir les romans de Jane Austen et d'écouter la bande-son du film aussi! Je me sens pousser des ailes!

    Je n'ai pas rédigé de résumé. Je trouvais intéressant l'idée de se plonger dans ce roman sans rien savoir (j'étais fainéante aussi à l'époque).

    Pour plus d'informations et  de critiques, suivez ce lien et ceux conseillés par Cuné (dommage, la page demandée n'existe plus)